Les élections au Parlementeuropéenont produitdes résultats très différentsà l’échelle nationale, qui doivent êtresurtoutévalués parlesassociations membresrespectives de laFIRetlesforces socialesdans les pays concernés. Néanmoinsdes déclarationsgénéraliséespeuvent être faites:
1 Lesdifférentsrésultats des électionsdans lespays européens participantsont un problèmecommun: lefaible taux de participation. Même dans les paysoùle vote est obligatoireungrand nombre d’électeurs ne se sont pas rendus aux urnes. Le taux de participationle plus faiblea étéenregistréen Slovénieavec moins de 20%. Dans le résultat global c’estle » parti des non-votants  » qui est levrai gagnantdes élections. Cela démontre quebeaucoup de gens ne voyaient aucun avenirpolitiquepour eux-mêmes dansles élections auParlement européen. Peut-être parcequ’ils ne voyaient pasune possibilité de pouvoirexercer une influence effective surla situation politiqueen Europe, peut-être est-ceparce que, en général, ils n’attendent riende l’Europe. Ici, ilest clairque la politique actuellede l’Union européennene répond pas auxbesoins de la majoritédes citoyensdans lespays membres.
2. Lesrésultats del’extrême droiteet des partis de droitepopulistesdans de nombreux payseuropéens sont dramatiques. En Grande Bretagne, l’UKIP atteint 27,5 %, au DanemarkleDF26,6%, en France, le Front national 25%eten Autriche, le FPÖ récolte 19,5% des voix. Ce ne sont pasdes  » exceptions «  mais des signes bien visiblesdel’évolution politiquede la Droite. Etil existe des organisationsouvertementfascistesetnaziesviolentesreprésentées au Parlementeuropéen, JobbikenHongrie(14,7%),

 » Démocrates de Suède «  en Suède(9,7%),  » Aube dorée  » en Grèce (9,4%),  » Vlaams Belang  » enBelgique(4,2%) et, pour la première fois,leNPD(1%) en l’Allemagne.Belle démonstration quel’idéologie raciste peut mobiliser par des réponses nationalistesentempsde criseet que leur pénétrationmilitantepeut effectivementmobiliserungrand nombre d’électeurs.Ceci s’applique égalementdans les cas oùdes groupesd’extrême-droite ne pouvaient plus atteindrele nombrede votes qu’ils avaient obtenus aux dernières élections européennes ou nationales. Ainsi, à la fois pour Wilders duPVV aux Pays-Baset duVlaams Belang en Belgique on perçoit une perte perceptible du nombre devoix.
3 Les conséquences: d’abord,lesfractions de Droiteexistantes pourront, à l’avenir, siéger avec un poids plus lourd en nombre de voix et d’autre part, il y aura une fraction (qui disposera de tous les moyens financiers et del’influence politique) qui représentera des positions ouvertementpopulistesde droiteet néo-fascistes. Contrairement à2007, cettefractiondevrait se reproduireindéfiniment,parce que les personnes concernéessontmoinsguidéespar l’idéologienationaliste que par des intérêtspour le pouvoir politique.
4 Malgré toute la dramatiqueà l’extrême droite, nous pouvons être positifs en soulignantque dans divers pays des organisations démocratiques antifascistes orientées à gaucheont été en mesured’améliorersignificativement leurs parts devote. Cela inclutle résultat de  » Syriza  » en Grèce, les résultatsdes différents partisdes  » indignés  » en Espagneet aussi le Parti socialisteaux Pays-Bas. Dans le résultat on trouvelesfractions avec lesquelles laFIRa travailléavec confiance dans le passé(PSEetGUE-NGL) ont été renforcées, ce qui peut êtreun signe plein d’espoirpour nous.
5 Pour nous, laFIR, lesrésultats des électionsontpour conséquence quenous devonstravailler de concert aveclesforces qui, au Parlement européen, sont accessiblesà des thèmesantifascistes. Lesoutien ànotre appelétaitun bon début.C’est notre responsabilitéet de la tâchede nosfédérations membres d’utiliser lesopportunités qui en découlent.

FIR demandé dans différents pays candidats de différents partis d’appuyer les tentatives de mouvements antifascistes et notre appel. Nous demandons à chacun de choisir le 25 mai 2014 les femmes et les hommes pour le Parlement européen qui soutiennent les croyances anti-fascistes.
Jusqu’à présent, 36 candidats provenant de six partis dans quatre pays ont signé cet appel. Ils sont:

Unterstützerliste April 2014

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Die FIR erklärt ihre große Sorge über die aktuelle Entwicklung in Europa. Wir sehen, dass die extreme Rechte und neofaschistische Kräfte in Ländern der Europäischen Union und außerhalb der EU massiv an Einfluss gewinnen. Beispielsweise sind sie in Ungarn Stichwortgeber für chauvinistische und rassistische Politik, in Polen grenzen sie gesellschaftliche Minderheiten aus, in den baltischen Staaten betreiben sie Geschichtsrevisionismus und in der Ukraine haben neofaschistische und extrem-rechte Kräfte – unterstützt durch Repräsentanten europäischer Regierungen, der USA und der NATO – großen Einfluss in der gegenwärtigen Regierung, die außerhalb Verfassung gebildet worden ist. Deren Politik ist nicht nur gegen gesellschaftliche und nationale Minderheiten gerichtet, sondern sie stehen für Krieg und Expansion.

Die FIR missbilligt, dass Vertreter der Europäischen Union solche Kräfte anerkennen und massiv fördern. Unsere Idee von Europa ist verbunden mit der Tradition des antifaschistischen Widerstands, ein Europa, das die sozialen und gesellschaftlichen Rechte aller Menschen sichert. Daher fordern wir eine klare Haltung aller europäischen Autoritäten gegen extrem-rechten Tendenzen und nenfaschistische Gruppen in allen europäischen Staaten.

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Am Vormittag des 16. März 2014 protestierten Antifaschisten aus verschiedenen europäischen Ländern auf dem Freiheitsplatz in Riga gegen den geplanten Ausmarsch der SS-Veteranen und ihrer jungen Verherrlicher. Nachdem es noch am Vortag zu massiven und schikanösen Behinderungen gekommen war, trauten sich die lettischen Sicherheitskräfte nicht, dies am Sonntag zu wiederholen, da viele internationale Gäste und eine große Zahl von Pressevertretern anwesend waren.

Am Nationaldenkmal auf dem Freiheitsplatz legten die Antifaschisten, unter ihnen der Präsident der Internationalen Föderation der Widerstandskämpfer (FIR) Vilmos Hanti, der Direktor des Simon Wiesenthal Zentrums Efraim Zuroff, Vertreter der Organisation „World Without Nazism“ und Mitgliedsverbände der FIR aus verschiedenen Ländern, gemeinsam mit den lettischen SS-Gegnern Gebinde zu Ehrern der Widerstandskämpfer und der Befreier Lettlands vom Faschismus nieder, bevor die SS-Veteranen ihren Aufmarsch starteten.

Unfreiwillig unterstützte die Polizei die Protestaktion, da sie die Antifaschisten an dem Platz festhielten, solange die Anhänger der SS vorbeizogen. Damit wurden die gut 1000 Alt- und Neofaschisten mit den Transparenten der Antifaschisten, die diese in Lettisch und Englisch vorbereitet hatten, und den Fahnen der VVN-BdA, der FIR und anderer beteiligter Organisationen konfrontiert. „Dieser gemeinsame Protest gegen SS-Verherrlichung und Geschichtsfälschung ist ein wichtiges Signal europäischer Erinnerungskultur“, kommentierte Vilmos Hanti, Präsident der FIR, die Protestaktion.

The International Federation of Resistance Fighters (FIR ) – Association of antifascists sent to the inhabitants of the Hero City Leningrad, now St. Petersburg, and the veterans of the Soviet Army, best wishes on the occasion of the 70th Anniversary of the liberation of the city by breaking through the blockade on 27 Januar 1944.

The 900 days of blockade by the fascist armed forces brought untold suffering , death and destruction over the city. Nevertheless, people have fought in Leningrad almost three years heroically and – in that way – they resisted not only the fascist beast , but set also a visible sign for all the world that the  » invincible  » Wehrmacht reached its limits .

In the same time, the heroic deeds of the Soviet Army , organizing in the winter supplies for people across the frozen Baltic Sea and blowing up the blockade ring in January 1944 , are unforgettable.

We commemorate the more than one million victims of the blockade and honor the heroes who have sacrified their lives for the liberation from fascism.